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(lettre écrite par kalatos chef de la compagnie les fils de l'infortune.)

Chère mère , il est temps pour moi de te faire mes adieux. Mon ordre est tombé ce matin. Je dois emmener ma compagnie au rassemblement puis direction le royaume de Francie.
Cela faisait un moment que nos deux pays chercher un prétexte pour re déclenché la guerre. Et voilà que d'après les rumeurs ce bâtard de louis souhaiterait épouser Aliénior d'Aquitaine. Je rejoins donc Guillaume Longue épée qui prend une part active à cette guerre. Je suis fière de servir sous ces ordres comme père fit avant. Ici les tambours retentissent, les ferrants et les forgerons sont à l'oeuvre , les bleus chargent les charrettes sous les hurlements des lieutenants, et chaque hommes vérifient avec soin son équipement. Je ressens de l'excitation chez les bleus et de la tristesse chez les vétérans.
Je ne m'en fais pas pour mes hommes, ils sont bien entraîné et j'ai déjà croisé le fer avec nombres d'entre eux.
Mais je sais que notre Grand roi Henri VII va mettre son honneur en jeu. Cela fait trop longtemps que les rancoeurs dure. Beaucoup d'hommes ne reviendrons pas de cette guerre, mais nous le savons et nous le ferons avec joie pour notre Roi, notre patrie, et pour la volonté de Dieu.

Pour Albion !

(discours de kalatos a ces troupes lors de l'annonce de leurs départ pour la Francie)

Ferreor !
Amouler vos allumelle!
Nous faisons routes sur ces couards franc! Ils porpisse car nous allons les mortirs

Ferreor ! Faite chanté vos espees comme vous le ferez avec leurs puterelles. Car enfin lorsque la francie sera arriflé et que louis le batard aura eu la décolation, enfin les gouges franciennes connaitrons les damelot que vous etes!

Et si il plait à Dieu que nous survivons nous serons cousu d'or, gris et reçus en grande bobant à notre retour.

Ferreor! Potius mori quam foedari

sir j'ai amoulé mon allumette! mais le feu c'est esteind! j'attend de bruler les chaumières des petit frncs afin de raviver la flamme qui rougeoie en moi!
et si vous mùe parlez de ces batards veuillez croire que j'en laisserais plusieurs derrièers moi aprés avoir ramoné quelques vacheresses françaises qui font offices de femmes dans ce pays pourris!

Mais je ne ferais cela pas par amouir de notre roi mais pour assoir ma descendance et renouveler le sang putride qui coule de puis trop longtemps de l'autre coté de la manche !

borg le sanguinaire ( ou le sanguinolant)